Archives pour la catégorie Rêveur captif (L’Apocalypse, 2012)

Le rêveur captif –


Comme l’annoncent les éditions l’Apocalypse, « on peut enfin commander en ligne les 17 premiers titres de l’Apocalypse , et en sus à des prix parfois archiconcassés au sein du site de l’Apocalypse tout fraîchement remis à neuf ! ».

« Le Rêveur captif est un livre particulier réalisé par un auteur au parcours atypique. Principal animateur de la revue Dorénavant entre 1985 et 1990, Barthélémy Schwartz y inventait une nouvelle forme d’(ultra) critique, fustigeant l’idéologie bédé et barthelemy-schwartz_le-reveur-captifle storyboard de la production BD dominante, au profit de recherches sur une bande dessinée poétique qui exprimerait plutôt qu’elle ne raconterait. Après avoir délaissé la bande dessinée pendant 16 ans, il renoue avec ce langage à l’occasion d’un dialogue avec JcMenu dans L’Éprouvette. Schwartz propose avec Le Rêveur Captif une “cartographie” des rêves obsessionnels de sa jeunesse, et panorama de souvenirs et de réflexions sur la bande dessinée. Fidèle à ses références d’avant-garde, notamment surréalistes et situationnistes, et grâce à une technique mixte mêlant dessin, photographie et effets graphiques, Barthélémy Schwartz nous livre une expérimentation des plus fructueuses sur le langage du 9e Art et sur son apport atypique : “Je passais pour un martien dans le monde sage et policé de la bande dessinée”. Gageons que ce soit toujours le cas. »
(Éditions l’Apocalypse)

 

Du principe d’identité et des Ovni (Monde libertaire, 2013)


Ce qui va de soi, on ne le dira jamais assez, ne va jamais très loin. Ainsi en est-il de tout ce que la patine des habitudes nous a rendu familier, parfaitement rassurant, identifiable et, finalement, réductible au connu. Il se trouve pourtant des êtres et des objets qui, puisant leur substance au coeur même du sensible, semblent se dérober devant les analyses les plus fines. Leur identité est complexe, voilée et, pour ainsi dire, tendanciellement problématique. Néanmoins, c’est − paradoxalement − tout ce qu’ils contiennent d’irréductible qui les porte à la hauteur d’une oeuvre véritable de l’esprit, dont on sait depuis Hegel « qu’il conquiert sa vérité seulement à condition de se retrouver soi-même dans l’absolu déchirement (1). » Lire la suite

Monde diplomatique (avril 2013, web)


« Textes d’analyse – retour sur Occuper Wall Street, les mouvements à l’intérieur du PaL-echaude-2_80pxrti communiste chinois, etc. –, fragments littéraires de parrains spirituels (Alfred Jarry), et extraits d’un comix qui déploie une “approche poétique du rêve”, sous l’égide du situationnisme… (Automne-hiver, n° 2, triannuel, 7 euros. — Ab Irato Editions, 6, rue Boulle, 75011 Paris.) »

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L’Echaudée n°2

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Le Rêveur captif


LE RÊVEUR CAPTIF
Barthélémy Schwartz
L’Apocalypse, 2012

Le Rêveur captif est un livre particulier réalisé par un auteur au parcours atypique. Principal animateur de la revue Dorénavant entre 1985 et 1990, Barthélémy Schwartz y inventait une nouvelle forme d’(ultra) critique, fustigeant l’idéologie bédé et le storyboard de la production BD dominante, au profit de recherches sur une bande dessinée poétique qui exprimerait plutôt qu’elle ne raconterait. Après avoir délaissé la bande dessinée pendant 16 ans, il renoue avec ce langage à l’occasion d’un dialogue avec JC Menu dans L’Eprouvette, Schwartz propose avec Le Rêveur Captif une “cartographie” des rêves obsessionnels de sa jeunesse, et panorama de souvenirs et de réflexions sur la bande dessinée. Fidèle à ses références d’avant-garde, notamment surréalistes et situationnistes, et grâce à une technique mixte mêlant dessin, photographie et effets graphiques, Barthélémy Schwartz nous livre une expérimentation des plus fructueuses sur le langage du 9e Art et sur son apport atypique : “Je passais pour un martien dans le monde sage et policé de la bande dessinée”. Gageons que ce soit toujours le cas.

Extraits :
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L'Apocalypse

Le Rêveur captif, l’Apocalypse, 2012
(site de l’Apocalypse)

Le « Rêveur captif » dans les « Chronique de la désobéissance » n° 71 (Aïchara, 13 décembre 2012)


« Ainsi, tout est bon pour que le prisonnier tente son évasion des HLM. Il y a également BS-couv1des échappées historiques et d’autres artistiques, toutes semblant sans liens entre elles comme dans le rêve mais faisant unité car elles sont l’univers de l’auteur, un univers marqué par le surréalisme et les situationnistes et par une culture qui va de Kafka à l’inconnu Henry Darger et à quelques autres. »

http://cerclelibertairejb33.free.fr/?p=2936